Les pesticides sont bons pour la santé

Quelle est cette hérésie ?! Elle est le socle d'une pensée unifiée. Elle nous fait violence, c'est vrai ; elle va puiser au plus profond de nos croyances et crispations face au monde "extérieur"...

Évoquer les pesticides avec amour et recul est un sacré pas en avant. Pourquoi ? Parce que dans ce cycle, je vis l'unité ou je ne la vis pas. Je n'ai pas d'autre alternative que celle-ci : valider une perception quantique de l'univers.

Lorsque je travaille sur le socle des trois pièces, j'apprends tout simplement à voyager entre mes trois dimensions : je suis l'humain, l'esprit et la vacuité. C'est dans cet espace multidimensionnel et intelligent que je me pose cette question et que j'y réponds : que sont les pesticides ? De la matière et donc de l'énergie.

Pour mieux m'imprégner de cette nouvelle réalité, je dois également concevoir ce qu'est la vacuité. C'est MOI sous ma forme originelle : je ne suis rien et pourtant, je contiens tout. Je glisse dans cet espace lumineux qui est le mien de toute éternité et je revisite cette vérité : que sont un légume bio et un légume imprégné de chimie ? Ils sont moi, ils sont le plein qui remplit mon vide. Lorsque la vacuité s’exprime en moi, tout est déjà en moi, la chimie comme le reste. Je ne perçois plus l'ombre mais seulement la lumière indicible de tout ce qui EST. Je vénère toute ma création d'un même amour absolu, un amour qui ne sélectionne pas mais qui englobe le cosmos, la chimie y comprise. Voyez-vous ce qu'est l'amour inconditionnel maintenant ? Percevez-vous la fréquence de cette évidence ?

Comment avoir peur d'un pesticide ou d'un virus lorsqu'ils sont MOI ? Il ne suffit plus d’énoncer que je suis le monde extérieur, il me faut le vivre ! Et le monde extérieur, c'est aussi un pesticide et un virus.

Maintenant, je reviens dans la pièce humaine : je ne suis plus effrayé par une tomate industrielle, elle n'est plus en mesure de déstructurer mon corps, de m'atteindre, de m'attaquer, de me morde, de me faire du mal. Je l'aime, je me souviens enfin qu'elle est en moi, qu'elle est MOI. Ce n'est plus la peur qui est la source de mon choix : car oui, en tant qu'humaine, je vais sélectionner une tomate bio plutôt qu'un produit cultivé "sans conscience", mais la fréquence qui sous-tend mon geste est celle de l'unité et plus celle de la répulsion et du rejet.

Je pense comme une entité globale pour structurer le nouveau monde. Tant que je sépare le bon grain de l'ivraie, mon existence reste ancrée dans des phobies de l'ancien monde. Je mène une guerre contre ceux qui utilisent ces produits sans même me rendre compte que je suis le grand ordonnateur de cette bataille dont l'origine n'est rien d'autre que ma dualité. Tant que j'ai peur de la matière, je souffre. Tant qu'elle n’intègre pas mon champ de conscience, elle m’atteint. Tant que je la diabolise à travers des notions ancestrales de bien et de mal, je subis ses attaques. Ce n'est pas la chimie qui me détruit et me rend malade, c'est la croyance que cela est possible. Je suis ce que j'imagine être, je n'oublie plus jamais cela.

JE suis le pesticide ou je ne le suis pas. Les paradoxes quantiques étant la clef de mon univers, lorsque je deviens le pesticide, je peux choisir de ne plus en ingérer.

Lorsque c'est le créateur en moi qui s'exprime, les pesticides ne sont ni bons ni mauvais pour ma santé, ils ne sont rien puisqu'ils sont MOI.

Il n'existe pas une bonne ou une mauvaise alimentation, de bons ou de mauvais produits, il n'existe que le créateur, telle est notre nouvelle réalité civilisationnelle.

Remplacez le mot "pesticide" par "vaccins", "poisons", "ondes magnétiques", "sucre","lait", "eau polluée" et voyez où se cachent encore la séparation et l'angoisse en vous.

Cette réalité est le socle de l'alimentation luminique : celui qui ingère et ce qui est ingéré fusionnent et ne forment qu'un seul atome, La matière n'a plus aucun impact sur mon corps lorsque JE suis la matière.

Exercice thérapeutique,  croyance et croyance inversée : première croyance, le sucre est nocif / deuxième croyance (inversée pour cette dernière),  ne plus manger de sucre est bon pour ma santé. Ces deux croyances, lorsqu'elles imprègnent l'interface neuronale, sont vécues à travers votre corps et vous allez effectivement pouvoir vérifier que vous allez mieux sans ingérer de sucre. Ce bien-être ne perdurera cependant que peu de temps car il est projeté par une matrice de conscience désunifiée. Ces deux idées reçues restent des croyances qui donnent à vos aliments un POUVOIR extérieur à vous-même. Dans ces deux options, l'impact de la matière sur votre corps est soit positif, soit négatif mais il vous soumet à sa loi.

Dans l'alimentation luminique, vous brisez cet espace de conscience qui morcelle la matière, vous vous alimentez de sucre dans la joie et non plus à partir de la peur.....et au sein de cette énergie neutre, vous pouvez également ne plus en ingérer.

Manger des légumes ou un gros morceau de gâteau industriel revient au même, du moins à travers ma perception/création :) Je me suis alimenté uniquement de chips/soja/vinaigre pendant des années, non pas parce que c'était bon ou mauvais pour moi mais parce que j'en éprouvais du plaisir...

2014 

Mesnet Joséphau-Charrier

Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète quelques années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.