La fusion alimentaire-matière et l'éther

En 2024, j'arrive à la fin de ce protocole que j'ai nommé à l'époque "alimentation luminique". Je ne parle donc plus de lumière (la lumière est une construction archontique que BDM appelait astral), je vis la fusion avec moi-même en tant que source une.

Le principe de la digestion est une mécanique de séparation (bonne alimentation ou mauvaise alimentation, c'est idem), alors que ma présence en moi-nous-tout, me permet d'accéder à la fusion. Qui dit fusion, dit unité, disparition de la perception intérieur/extérieur, tout est en moi, tout est mon corps (je me mange, ceci est mon corps).

Je vais faire court dans cet article, pour en saisir la vibration, il faut intégrer ces bases : mon grand corps cosmique / Le principe archontique (qui n'est pas de la mémoire mais ma conscience originelle) / La différence entre digestion et fusion (la digestion est ce que j’appelle "le circuit court") / La fusion et le rayonnement.

Mon témoignage : j'ai mangé beaucoup (le prana est astral), beaucoup, beaucoup, j'ai pris du poids, j'ai fait face à ma peur, à la lourdeur de ma matière. Puis, devenant ma propre source, la source unique, j'ai commencé à fusionné les aliments (mon corps) avec mon estomac (mon corps), et j'ai imposé neuronalement la fusion plutôt que la digestion : au sein du noyau de mon corps-planète individuel, l'air (gaz-éructation), l'eau (elle est partout, mais la salive-amrita joue un rôle important), le feu (suc gastrique) et matière-atome, fusionnent et génèrent mon éther personnel (ici, personnel, c'est moi la source et moi Mesnet, donc c'est la totalité de ce que je suis).

Et c'est tout. Comme d'habitude, ceci n'est que mon témoignage, cette trame n'en est pas encore à considérer qu'un mauvais aliment ou un bon aliment, dans l'unité et la fusion, c'est simplement mon corps d'amour et de plaisir, ce qui se vibralise ici est donc un choc violent, et génère doute, colère et rejet. 

En attendant, passer de la digestion alimentaire à la fusion atomique, et fabriquer son propre éther, est un passage passionnant et merveilleux. C'est à la fois banal (cela a toujours été un potentiel présent, chaque avatar mange) et en même temps nouveau :)

Mesnet Joséphau-Charrier